Pourquoi avoir décidé de vous impliquer dans Nexus, au début en tant que rédactrice de briques et plus tard en devenant coordinatrice du projet ?
J’ai décidé de m’investir dans le projet en tant que rédactrice de briques car j’ai tout de suite accroché avec ce concept novateur et fédérateur puisqu’interdisciplinaire. Que l’on y soit favorable ou non, les nouvelles technologies prennent de plus en plus de place dans nos vies. Leur appréhension par les sciences humaines devient incontournable pour en maîtriser les limites, les apports… J’ai par la suite découvert que le chantier des briques n’était qu’un chantier parmi d’autres tous aussi intéressants ! Ils ont pour point commun d’ambitionner la réussite des étudiants à l’ère d’aujourd’hui ; c’est ce qui m’a donné l’envie d’accepter de reprendre la coordination de ce superbe projet !
Quelles sont vos nouvelles missions au sein du projet ?
Je fais en sorte que chacun des 6 chantiers avance à un rythme raisonnable afin d’être en adéquation avec les attentes de l’ANR. Je suis pour cela entourée d’une formidable équipe aussi motivée que compétente avec qui je suis en contact régulier. Il s’agit principalement de Laurent Piccinni (VP num qui coordonne le projet à mes côtés), de Julie Philip (cheffe du projet), d’Aude Adjalle et Richard Mas (les ingénieurs pédagogiques) ainsi que des porteurs de chantiers (je pense ici à Laurent Fauré, porteur du chantier des briques particulièrement investi dans le projet).
A quoi ressemble une journée type en tant que coordinatrice ?
Je m’approprie cet immense projet petit à petit. Je fais le tri des mails qui me sont adressés, les priorise, y réponds, participe à des réunions en visio, parfois programmées, parfois improvisées… tout en conservant ma casquette d’enseignante chercheuse (comprenant celle de rédactrice d’alvéoles). Mes journées qui étaient chargées sont devenues très chargées mais je ne m’ennuie jamais ! Je suis très heureuse de relever ce challenge enrichissant tant professionnellement qu’humainement !